Comprendre les chevaux et se comprendre soi-même,
Vers une équitation positive, légère et vivante
MON PARCOURS
J’ai crée Équitation Positive en 2013 . Mais avant tout cela ?
J’ai obtenu un BP JEPS Équitation en 2009. Et aussi un DU d’éthologie du cheval depuis 2014 qui a fondamentalement changer mon regard sur le cheval. C’est grâce au partage des chercheuses en éthologie qu’aujourd’hui encore je continue de vouloir comprendre ce que ressentent et ce que pensent les chevaux.
J’ai crée Équitation Positive en 2013 . Mais avant tout cela ?
J’ai obtenu un BP JEPS Équitation en 2009. Et aussi un DU d’éthologie du cheval depuis 2014 qui a fondamentalement changer mon regard sur le cheval. C’est grâce au partage des chercheuses en éthologie qu’aujourd’hui encore je continue de vouloir comprendre ce que ressentent et ce que pensent les chevaux.
J’ai multiplié mes expériences et mes formations en équitation auprès d’écuyer de qualité en France et au Canada tels Claire Vandenbulcke (Les chevaux d’Arcand) , Franck Grelo (Haute école, Canada), Bernard Sachsé (Equitation de tradition Française)
Mais pas seulement ! Un partenariat de deux ans avec Sophie Daveau, comportementaliste et physio-thérapeute équin de L’école des Chevaux est venu enrichir ma pratique et encore une fois mon regard sur les chevaux.
Mon parcours avec les chevaux s’est bien entendu aussi nourri d’autre recherche plus atypique.
Comme le yoga Iyengar ®, qui délivre de véritables secrets du yoga pour une posture juste, affiner l’intelligence et développer la tolérance. Je pratique aujourd’hui sans relâche et quotidiennement depuis bientôt 12 ans tant la pratique m’est devenue essentielle dans mon travail avec les chevaux
Les arts martiaux quant à eux ont été une révélation exceptionnelle car ils m’ont offert de comprendre et de confronter l’absolue nécessité de protéger son centre, de l’utiliser et de bouger avec son partenaire.
Cette découverte s’est faite grâce au wing-chun et Rafi Ganey .
Et cette recherche s’est poursuivit grâce à l’aïkido et Patrice Le Masson. L’usage des armes et la faculté de comprendre la force de son partenaire, le travail des hanches et cet art de la chute m’ont guidé dans un univers profond. L’aïkido makoto wanomichi m’a permis d’observer l’importance du respect de la physiologie de chacun, tout comme en yoga Iyengar ®, tout comme dans une équitation juste.
Le yoga, les arts martiaux, tout comme l’équitation ont de commun, qu’ils nous apprennent à découvrir qui nous sommes réellement, à nous connaître nous-même.
C’est pourquoi, lorsque j’ai eu la chance de fréquenter les chevaux et surtout les poneys, dès l’âge de huit ans ; ceux-ci ont largement contribuer à mon bien-être, à ma joie quotidienne, et m’ont appris à me définir en tant qu’individu.
Car tenir tête à un shetland quand il faut, ça forge le caractère ! Mais à vrai dire, c’est surtout la magie du pacte entre l’enfant et l’animal qui fonctionnait à l’époque. En effet, la non prédation, l’envie de communiquer juste, et de respecter l’autre font des enfants, des partenaires privilégié pour les chevaux.
Parallèlement, on me confie la responsabilité du poney club de Terre d’illich où j’ai la chance de travailler avec les poneys et les enfants, avec qui je suis libre de développer la pédagogie que je souhaite pour la première fois sans aucune censure.
Actuellement, je suis en formation de voltige sur croupe, art du cirque, chez ARDEVAC auprès de Manu Bigarnet. Cette nouvelle recherche nourri très favorablement ma propre pratique équestre mais aussi mon approche pour la préparation des cavaliers dès le travail au sol.
Le dénominateur commun de ce parcours est de placer le corps au cœur de la pratique, le cœur comme le gouverneur du corps…
