Propulsée par l’énergie des chevaux ?
By Aurore Fougeray | Published | Aucun commentaire
C’est sûr que ça t’est déjà arrivé. Sauf que les chevaux, ça peut en prendre aussi beaucoup.
Quand j’ai pu enfin trouver depuis quel point les chevaux me donnaient de l’énergie, sans que je leur en vole et sans qu’ils m’en pompent, ça a été un soulagement .
C’était comme avoir trouvé quelque chose que je cherchais depuis des années, sans savoir que c’ était ça qui me manquait. Ainsi, Nature Primaire arriva.
L’équilibre primaire, c’est exactement ça , et c’était déjà là il y a 40 000 ans, dépenser de l’énergie pour en gagner, sans être déficitaire .
C’est comme ça qu’expliquent les paléoanthropologues en tout cas, le moyen le plus pertinent de se nourrir.
Est-ce que vous avez déjà envisagé ça comme ça ? Dépenser de l’énergie pour en gagner ? Dépenser pour gagner …
Les personnes qui seront stressées par le manque d’argent vont avoir du mal à comprendre je suis sûre .
Mais la dépense revient à un bénéfice, et ça n’obéit pas qu’à des lois purement comptables.
Et quand on a dépensé trop, et qu’il n’y pas de bénéfice réel en face, les batteries et les réservoirs se vident, on tape dans les réserves et là on se crame.
On a le choix entre le fameux burn-out à la mode (qui est bien réel), la dépression, la perte de sens existentiel, la dévaluation de soi , …
Je discutais avec une amie qui a vécu longtemps en Inde et qui me racontait comment sa maître de danse traditionnelle se rechargeait une fois par an.
Cette dernière fait pancha karma pendant trois semaines ( en gros une cure de sudation, purge, lavement et complémentation ) + trois semaines de repos complet juste derrière.
Cette maitresse de Danse donnait beaucoup et elle le savait, elle consacrait minimum 6 semaines par an, pour un nettoyage et un repos profond. Les personnes qui ont fait pancha karma témoignent toutes du bénéfice qu’elles en ont retiré.
Ma question est donc , que faisons-nous NOUS pour nous nettoyer, nous recharger si nous sommes vidés ?
Il faut s’occuper de ce problème, non ? C’est en fait une question de santé publique.
Parmi les évènement plus ou moins normaux de la vie humaine qui nous impactent, j’ai identifié ça aujourd’hui :
- Burn-out
- Accident ou traumatisme
- Maternage et accouchement
- Dépression
- Crise existentielle
- Relations toxiques
Mais aussi lorsqu’on est artiste, thérapeute, enseignante et maître .
Recharger ses batteries, mettre les compteurs à zéro, remplir les réservoirs, c’est aussi trouver le recul qui donne des perspectives sur soi et sur les situations qu’on traverse.
La vie n’est pas là pour nous être agréable, mais elle n’est pas là non plus pour nous faire sombrer, elle nous fait avancer.
Se servir de l’énergie des chevaux, c’est le nouveau bébé de Nature Primaire.
On va travailler sur la mémoire individuelle et collective, les empreintes et l’Histoire avec un grand H sous forme de cure, comme pancha karma.
Qui a envie d’un shoot d’histoire, de grands espaces et d’art avec les chevaux pour créer un nouveau départ ?
Le prochain voyage débute cet été.
Je vais vous en parler toute cette semaine et vous dévoile ce bijou très bientôt.
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